Par une ordonnance du 28 octobre 2022, la juge des référés a rejeté les référés libertés introduits par la CGT des Deux-Sèvres et le syndicat Solidaires 79, estimant que la préfète des Deux-Sèvres n'avait pas, eu égard au risque de trouble à l'ordre public, porté une atteinte disproportionnée à la liberté de manifester, ni aux libertés individuelles de réunion, d'aller et venir, et de circulation en prenant les arrêtés en litige.